Jeudi 18 février
Le percnoptère tournait juste au-dessus de lui.
Il l’avait reconnu à son plumage blanc et à ses rémiges noires, impossible de le confondre avec le gypaète barbu à l’envergure plus grande, aux ailes étroites et anguleuses.
Il sourit, ce serait donc un vautour qui assisterait à son dernier vol.
la voile du parapente frissonnait derrière lui, prête à enfler.
Le percnoptère siffla.
Bien calé dans sa sellette, il s’élança…

Bon jour,
Je ne connaissais pas les noms de ces rapaces… j’ai l’impression que le parapente va une « drôle » de rencontre … 🙂
Max-Louis
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Oui, c’est un saut dans le vide..
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